La Menace ixionienne

Quoi de spécial aujourd’hui, 1er mai (2024) ? La fête des travailleurs ? Le muguet ? Oui, mais surtout la sortie de La Menace ixionienne, mon roman de « space opera » (ou épopée spatiale) édité par Rivière Blanche !

Avec des vaisseaux qui vont plus vite que la lumière, des robots, des extraterrestres… Avec un héros vraiment unique et qui va peut-être sauver le monde… Avec une confrontation galactique entre civilisations… Et avec de l’art !

N’hésitez pas à aller sur le site de l’éditeur, où l’on peut même télécharger gratos le premier chapitre, histoire de vérifier si l’auteur sait écrire en français sans faire trop de fautes.

4ème de couv’ : Dans un futur où les humains ont colonisé un morceau de la Galaxie, les consortiums pillent les ressources naturelles des planètes. Parfois, toute vie autochtone est détruite lorsqu’un monde est terraformé.
Le « Capitaine », un androïde, s’est donné une mission: intervenir pour protéger les écosystèmes en danger, par tous les moyens.
Un jour, la situation s’inverse: des aliens, plus avancés technologiquement, modifient l’atmosphère des planètes occupées par les humains.
Seul le Capitaine peut encore sauver l’humanité de la MENACE IXIONIENNE…

Pourquoi les physiciens n’aiment-ils pas le Space Opera ?

Mais pourquoi les physiciens sont-ils aussi méchants ? Oui, ils sont méchants avec les auteurs de Space Opera : s’ils ont fixé la valeur de la vitesse de la lumière à 300 000 kilomètres par seconde, c’est rien que pour les embêter, je ne vois pas d’autre raison !

La Menace ixionienne – pourquoi un robot humanoïde ?

Mais pourquoi les auteurs de SF veulent-ils absolument que les robots soient humanoïdes ? À quoi ça sert ? Dans la réalité, on ne risque pas, par exemple, si l’on se balade dans une usine de bagnoles, de confondre les robots qui peignent les carrosseries avec des humains ! Alors pourquoi cette lubie ?